dimanche 30 octobre 2011

URGENCE ..... CE QUE LES MÉDECINS IGNORENT ENCORE HÉLAS

Plus la personne est autonome et sécure financièrement : et moins elle coûte cher à la société. Et plus les Commerçants et les Producteurs aussi en profitent. C’est une autre Loi économique


LA MOITIÉ DES GENS N'ONT PAS ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE .....
ON PASSE DES HEURES ET DES JOURNÉES À ATTENDRE DANS LES SALLES D'URGENCE DES HÔPITAUX .....
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Ils parlent de surpopulation car ils ne veulent rien partager

Michel Fortin, conseiller municipal qui a le pouvoir de changer des choses depuis ces 10 dernières années mais il ne fera rien car non humaniste

Par exemple on nous dit que ce Michel Fortin s’est fait connaître dans le domaine coopératif auprès de la Coopérative de développement régional comme administrateur et a initié le modèle des Coopératives jeunesse de services au Saguenay. En 1996, il est devenu administrateur et secrétaire du conseil d’administration de la Caisse Desjardins de Chicoutimi.
Dans le secteur de l’éducation, il préside le conseil d’établissement du Centre d’éducation des adultes Laure-Conan depuis 1999. De plus, il a participé à la création de différents organismes consacrés à la jeunesse et a administré diverses fondations et organismes caritatifs. À titre professionnel, il agit comme conseiller, service aux citoyens, au cabinet du maire de la Ville de Saguenay. ILS FOURRENT LEURS NEZ PARTOUT.... si ils étaient des humanistes, ils encourageraient et mettraient en place aussi des humanistes comme moi au lieu de les barrer partout comme ils le font actuellement......


Ils ont le pouvoir de changer des choses depuis ces 10 dernières années mais ils ne le feront jamais car ils ne sont pas des humanistes mais des eugénistes......

Il y a une médecine pour les riches et peu pour les pauvres...... Nos partis politiques s'affichent sans gênes êtres de plus en plus de droites, et la droite c'est les riches contre les pauvres

DANGER


Regardez-les ces bénévoles capitalistes eugénistes qui jouent aux œuvres méritantes afin de tout contrôler et aux services de cette mondialisations d'égoïstes .....

Il y a les bénévoles naïfs qui ne voient rien et ne se rendent compte de rien, ce sont pour la plupart de bons citoyens qui essaient d'aider, HÉLAS, ils sont utilisés par des PIONS (Chevaliers de Colomb, Francs Maçons, Jésuites, le Clergé......) qui sont à la tête de ces Organismes de Services et de Charité.
Quand des bourgeois jouent à la Charité afin de rendre ce système inhumain acceptable en réparant un peu les pots cassés...... Si on faisait disparaître tous ces Organismes de Charité, ce système capitaliste deviendrait tellement invivable qu'on le changerait et qu'on mettrait les Valeurs Fraternelles aux Fondement s de nos Sociétés, de l'Économie......

Stratégies élitistes.
Vous voulez faire accepter un Système anrifraternel aux gens? Facile, il suffit à la fois d'y créer des Organismes d'Entraide et de Charité pour donner l'impression que tout va bien et que tout se fait pour aider tout le monde, et ainsi tous croiront que tout est bien ainsi, et, il y aura même plein de gens naïfs qui en deviendront des bénévoles fervents et qui défendront FÉROCEMENT ce qu'ils font et ce beau (monstre) système où la majorité doit se priver pour une minorité opportuniste et gourmande qui ne veut rien partager avec personne.

Des Organismes pour faire accepter le monstre
Des bénévolés bénévoleurs

Nos régions ressources sont riches de lacs, de forêts, de mines, de terres cultivables, de..... pourtant on y peine, les exodés et les pauvres y sont en croissance, les suicides nombreux..... les gens y vivent pauvrement alors qu'on est en pleine croissance économique.....

Et pendant ce temps,
les MAIRES de ces régions affirment que tout va bien....... ''Aux pays des aveugles, les borgnes sont rois''
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Ils sont sur des Comités et ils ne savent rien de ce qui suit, c'est épeurant.....

COMBIEN DE CES DÉCÈS SONT IMPUTABLES AUX GRANDS POLLUEURS ?

La région 02 (Québec, Canada) est au-dessus de la moyenne des CANCERS. Chaque jour, ici, 4 personnes apprennent qu'ils ont le cancer. Et c'est 35 décès qu'il y a dans cette région du Saguenay-Lac-St-Jean chaque année.

Nous savons que Abitibi Price était considéré comme le plus grand pollueur au Canada, et vient ensuite AlcanLa maladie n'est jamais une cause. La maladie est une réponse, une pauvre réponse ...

En dénonçant l’industrie pharmaceutique comme l’instigateur et le principal bénéficiaire de la crise internationale actuelle et de la guerre, nous avons apporté une contribution importante au fait qu’aucune légitimité et aucun mandat n’ait été accordés à cette guerre et à ces vaccinations-contaminations par la communauté internationale. Ceux qui l’ont menée peuvent, si les peuples du monde s’unissent pour le réclamer, être tenus pour responsables devant des tribunaux internationaux pour le restant de leur vie.

Les petits pays ne savent pas résister à l’énorme pression politique et aux tentatives de corruption économique des États-Unis et de la Grande-Bretagne.

Ces deux pays sont les plus grandes nations exportatrices de produits pharmaceutiques du monde.

Le produit de la vente de deux cachets sur trois revient dans ces pays, quel que soit l’endroit où ils sont vendus. Et c’est précisément cet argent qui fait que des politiciens de la Maison Blanche et du Downing Street sont corrompus et dépendants ; et c’est encore cet argent qui sert, aujourd’hui, au financement de la guerre au Moyen-Orient, ainsi que de la "guerre mondiale" déjà annoncée.


Chaque maladie est unique… puisque chaque personne l’est et réagit différemment des autres et d’une journée à l’autre.

Chaque maladie constitue une histoire inédite. La diversité des maladies concerne cette brisure et non l’origine. Et les affections sont les causes intermédiaires pas les causes premières. C’est l’histoire de cette brisure entre l’humain, sa spécificité et son milieu.

La santé comme la maladie sont des processus naturels biologiques!

Être malade est un signe de santé! Il est normal pour une personne saine de réagir à ses abus!

La maladie nous dit quoi faire et où aller!

LA MALADIE MONTRE COMMENT VIVRE SAINEMENT

« Lorsque tu est malade, recherche d’abord ce que tu as fait pour le devenir » ; «Que l’aliment soit ton seul remède» disait Hippocrate, le père de la médecine.

LE MAL-A-DIT

Le corps par la maladie enseigne l’hygiène, il nous montre clairement ce qu’il n’accepte pas ou ce qui lui est dangereux.


LA MALADIE ‘’ME LE DIT’’

La maladie enseigne à bien vivre. Elle est votre alliée, et elle vous permettra de vous maintenir en excellente santé. Combien de gens voyez-vous, et qui se plaignent d’être malades ? Plusieurs, n’est-ce pas ! Et bien, c’est grâce à leurs précieuses maladies qu’ils peuvent avoir une certaine qualité de vie et… vivre encore !


Le seul véritable médecin est le patient!

Oui, la maladie est comme un tuteur qui s’occupe de vous et qui ne vous lâchera pas. Cet ‘’entraîneur à une vie saine’’ vous semblera sadique mais en réalité vos souffrances ne seront que les conséquences de votre aveuglement et entêtement à ne pas corriger les situations qui s’imposent à vous maintenant !


La maladie vous dit : tolérance 0 face à la mal bouffe et au sédentarisme, et vous exige de prendre la bonne habitude de manger salades, fruits et légumes quotidiennement, de dormir au moins 8 bonnes heures et de temps en temps jeûner quelques jours pour accroître votre énergie vitale. ‘’Toute qu’un programme de vie’’ : vous vous dites ! Si votre corps agit ainsi, c’est pour vous éviter une mort prématurée et aussi que vous puissiez vieillir agréablement et vous éviter une vie invalidante.

LA MALADIE est un moyen de purification, de nettoyage, de protection et de régénération. Elle est une action vitale normale du corps, une élimination vicariante des substance morbifiques incompatibles avec la santé qui s’entassent et encrassent l’organisme. Contrecarrer cette action vicariante de nos forces curatrices naturelles est d’un extrême danger. La maladie n’est pas un ennemi à détruire, ce n’est pas un envahisseur étranger à nous…


C’est une action, un effort avec lequel il faut coopérer. «Il faut que la maladie suive son cours» entend-on dire souvent! La santé ne se bâtit qu’en suppléant aux besoins de la vie. Souvent on est malade parce qu’on ne s’est jamais rien refusé. Tout maux et tout problème humain viennent remettre en question l’environnement, le contexte social et écono-politique, nos Lois, les valeurs et les idéologies douteuses imposées à tous.

LA TOXÉMIE : cause organique de la maladie.


Nos limites physiques : c’est pour nous enseigner à vivre raisonnablement! Notre magnifique fragilité et notre vincibilité sont pour nous apprendre à exiger protection, vie douce et fraternelle. «Tous, nous avons besoin de douceurs, de musique, d’amour, de sécurité, de paix autour de nous, de savoir que les humains sont biens…».


L’humain est né pour être vertueux. Les Valeurs Fraternelles sont une qualité propre à tous, dit Montesquieu.


LE BUT DE LA MALADIE est l’expulsion de substances indésirables dans le corps pour l’assainir. C’est de maintenir l’harmonie (le paradis-humain).


LES MALADIES DITES ‘’INCURABLES’’ sont le plus souvent parfaitement guérissables. Les blessures se cicatrisent d’elles-mêmes (sans médicaments).


Comment nous en sortir tous ensemble et non désespérément chacun de son côté?


Mais, si vous adoptez de saines habitudes alimentaires, de pensées et de vie ; que vous vous débarrassiez de votre gourmandise pour vivre modérément : alors votre maladie n’aura plus sa raison d’être !


RÉFÉREZ-VOUS À LA LITTÉRATURE HYGIÉNISTE OU AUSSI APPELÉE ‘’HYGIÈNE VITALE’’ OU ‘’HYGIÈNE NATURELLE’’


LA M A L A D I E

La maladie comme l’agressivité ou la violence sont des symptômes, pas des causes!


SOINS PALLIATIFS et non qui guérissent

Les infections propagées par les hôpitaux

Le tiers des mortalités dans les hôpitaux est dû aux médicaments

À l’hôpital tout comme chez un avocat ou dans un poste de police : soyez toujours accompagné d’un parent ou d’un ami.

Comment voulez-vous qu’ils savez ‘’urgencer’’ lorsque leur salle d’urgence nous fait attendre 4 heures et plus!

Et si les médecins allaient se promener dans les cimetières, question de visiter leurs victimes nombreuses!

En combattant les symptômes, la médecine aggrave le cas, crée des complications et des rechutes, transforme les cas aigus en cas chroniques, détruit les tissus de façon irréversible, refoule les poisons en en ajoutant sous forme de produits chimiques. Les méthodes utilisées par la médecine tuent souvent le malade.


Un poison est toujours un poison même en infime quantité


LA MÉDECINE NE SAIT FAIRE AUCUNE PRÉVENTION.

En effet, un médecin privé de ses médicaments est comme un poisson hors de l'eau…

On lui a enseigné d'empoisonner les malades, et il ne connaît presque rien d'autre. Son entraînement est bien limité et spécialisé.

Les médicaments ne sont jamais nécessaires.

La médecine est le plus grand ennemi de l'intégrité humaine dans la vie moderne.


MÉCONNAISSANCE DE TOUTE HYGIÈNE DE VIE

Les médicaments font subsister les mauvaises habitudes, rendront un débauché encore plus débauché.


En médecine comme chez les militaires, les poisons et la punition/souffrance (sado-masochisme) prennent la place de la vérité et de la droiture. Il est dommage que la pratique médicale se soit donné comme but de contribuer activement (tel l’esprit de la mafia) au développement du vice, du crime et de la maladie en recherchant les moyens de protéger les malades contre les Lois de la Vie (et contre toute morale ->: «Financez nos Recherches pour qu’on trouve des médicaments qui vous permettront de tout faire sans vous soucier des conséquences»).


CE QUI REND MALADE

Il arrive que le remède soit pire que le mal.

« Madame, vous savez qu’on a pas le droit de fumer dans les hôpitaux », et la dame lui répondit « Non, mais on s’y drogue ».


«Peut-être que les médecins font de leurs mieux : mais les patients subissent de leurs mieux».

«Et si les médecins allaient se promener dans les cimetières, question de visiter leurs victimes nombreuses»! « Le médecin se fait payer, qu'il ait tué la maladie ou le malade ».


« Si le travail est bon pour la santé : alors qu’ils le donnent aux malades car moi je m’en passerai ».


« La Médecine cultive la maladie et la tare, elle se recrute des clients, elle crée des gens qui auront besoin d’avoir recours à elle » nous dit Jean Rostand.


Les tortures dans les camps nazis n’étaient pas effectuées par les SS : mais par des médecins.

«Le vrai miracle des médecins consiste à faire survivre toute la population à des niveaux insuffisamment bas de santé personnelle» Yvan Illich.




Voici quelques habitudes de vie et d’alimentation malsaines qui dilapident une grande dépense d’énergie : la peur, le mépris, la jalousie, la colère, la FIERTÉ, l’envie, l’orgueil, les intrigues, la dissimulation, la malhonnêteté, le vol, la convoitise, les rivalités, les rancunes, les mensonges… et la mauvaise alimentation (trop de viande, le café, l’alcool…).

Que faut-il en conclure lorsque les médias nous titrent : «Les gens ne se sont jamais aussi bien portés depuis les compressions budgétaires en santé»!

En ce qui concerne sa capacité de guérir, souvent on se voit incapable de guérir. Il y a un côté diabolique dans le développement de la maladie…. une personnalité plus faible, une faible résistance au stress, brusque décompensation devant le stress, une confiance en soi qui décline très rapidement, un système de croyance plus rigide, une forme d'intolérance ….


FAUT-IL EMPOISONNER LES MALADES?

Quelques F A I T S

Autrefois (et encore aujourd’hui) ON UTILISAIT LA MALADIE POUR EXTERMINER

LES CONQUÉRANTS ET L’ÉGLISE SAVAIENT ÉLIMINER LES PAUVRES PAR LA MALADIE. L’apparition de grandes épidémies n’est pas étrangère à la nature insalubre des Villes d’autrefois et à l’alimentation carnée chez l’humain fruito-végétarien, et même à des choix de Pouvoirs et de Gouvernes tel d’éliminer des gens et des populations donnés par tous les moyens : que ce soit par des guerres ou en les empoisonnant ou les rendant malades

« Le 1/3 des mortalités dans les hôpitaux est dû aux médicaments »!

C'est ainsi qu'en un an, 1,5 million d'Américains ont dû être hospitalisés par suite de l'administration de médicaments qui auraient dû les "guérir" d'une chose ou d'une autre. On nous vend l’infirmité et la mort!

Le taux de mortalité diminue de 50 % à 60 % durant les grèves d’hôpitaux et à chaque grève des médecins curieusement.

Que faut-il en conclure, lorsque des statistiques nous affirment que les gens et la Santé se portent mieux depuis les compressions budgétaires en Santé du gouvernement à Montréal ? Même en investissant dans la santé les gens ne se portent pas mieux : donc, à qui ces milliards $ profitent-t-ils au juste ? À l’élite et aux spécialistes ? Sommes-nous devenus des otages des grandes entreprises para-militaires pharmaceutiques ?

Chercher le gène héréditaire du meurtrier c’est encore chercher à protéger l’Économie et ses États-pilleurs par l’esprit de la Concurrence.

Le sacrifice dans les sociétés primitives par le besoin de détourner la vengeance des victimes (des citoyens exploités et trahis) sur un bouc émissaire afin d'éviter la spirale des représailles et de protéger les racailles qui usurpent la volonté des gens à une vie en société fraternelle. La victime du sacrifice se voit attribuer la responsabilité du mal à la place des vrais "coupables". Elle est choisie de manière à ce que personne n'ait de raison ou de moyens pour tenter de la venger à son tour : des animaux, des prisonniers, des marginaux, des phénomènes donnés.

Nous sommes aujourd'hui confrontés à ce type de phénomènes puisque dans les affaires de vaches folles, de sang contaminé, la recherche de coupables détournent nos gouvernants mis en place par des groupes d’Intérêts pour s'en prendre à des citoyens et les condamner. Que de la diversion.

Le Royaume-Uni et les Etats-Unis, sèment le chaos et les faux-problèmes (ozone, réchauffement de la planète, épidémies possibles….) dans le but que les peuples ne palrent pas de partage, d’entraide afin d’éliminer toutes formes de pauvreté…. Ce qui serait vraiment responsable.

*** Une tranche de viande cuite sur charbon de bois équivaut en benzopyrènes (substance cancérigène) à la fumée de plus de 20 paquets de cigarettes. Attention aux graisses saturées (viande, volailles, œufs, lait).

Notre Système de santé est-il un Système de maladies?

Est-ce logique que la médecine enseigne qu’à son gré qu’on peut violer les règles physiologiques, et que si on tombe malade, ils ont les médicaments (poisons) qu’il faut pour redonner vigueur et santé; malgré toutes les erreurs présentes, passées et futures? Aucun besoin de vous conduire sainement dans la vie et selon les Lois de la Vie puisqu’il y a les médicaments! La Nature n’a pas pourvu l’humain du besoin de remèdes : elle seule sait y remédier!

Quand le remède est pire que le mal et crée plus de problèmes! Aucune pilule au monde ne peut donner la santé, tout au plus elle peut soulager temporairement certaines douleurs! Quelles maladies vont-ils encore inventer pour nous faire peur, nous dissoudre le cerveau, nous empêcher de comprendre, de voir clair, de nous aimer, de se reconnaître?

Ils croient qu’une fiole contenant un soi-disant remède peut corriger leurs mauvaises hygiènes et habitudes vie, et ainsi permettre aux gens de continuer de vivre de façon la plus malsaine qui soit.

DÉMÊLONS-NOUS

Jamais une personne ne se plaint ou n’est malade sans raison. La médecine étiquette ‘’d’hypocondriaque’’ les gens qu’elle n’arrive pas à satisfaire !

Les lésions organiques sont les effets pas les causes.

Pourquoi des médicaments quand on se guérit tout naturellement ? !

Pour quelles raisons, qui et comment nous amènent-on à nous affirmer dans la combativité, dans l’opposition et la recherche de l’obstacle ?

Semer mondialement la compétition c’est semer le désordre, l’injustice, l’inégalité, la pauvreté, des guerres, … le chaos social, et tous ces MAUX QUI RAPPORTENT qu’à une gamique de mécréants !

Ne plus confondre la Science Chirurgicale de la Science Médicale qui n’en n’est pas encore vraiment une puisque les médecins d’aujourd’hui rient des médecins d’il y a 40 ans et que les médecins de demains riront de ceux de maintenant en les taxant même de criminels qui s’ignoraient.

LES MALADIES DE LA PAUVRETÉ - - - >

* La PESTE * La TUBERCULOSE * LA DYSENTERIE * Autrefois, elles étaient endémiques.

* La VARIOLE * Le TYPHUS * Le CHOLÉRA… Pour enrayer ces maladies il n’a fallu que d’installer des caniveaux et des égouts, d’améliorer les pavages des rues et leur nettoyage, … et d’assurer assez d’argent à tous pour qu’ils puissent se permettre les nécessités

Le CHOLÉRA provenaient des bactéries de la putréfaction animale dans l’eau de l’alimentation.

La PESTE en Angleterre n’en était pas une, il s’agissait de SUETTE, et c’était dû au manque d’hygiène de vie et d’alimentation des Anglais. Les Anglais à cette époque était considéré comme des gens malpropres qui ne se lavaient jamais et faisaient des orgies alimentaires de viandes (souvent insalubres).

Toutes les médecines sont palliatives : elles ne s’en prennent qu’aux symptômes (pour se faire des clients) au lieu de remédier définitivement aux maux. Ils ne connaissent jamais les causes. Ils ne savent rien faire pour une simple grippe : et ils nous font croire qu’ils peuvent nous guérir pour plein de maux : non, ils ne savent que soulager (anti-douleurs) mais pas remédier.

L’OMS (Organisme Mondial de la Santé) avoue que le traitement du cancer depuis ces 40 dernières années fut un échec.

Santé ou pas : il faut être malade pour bien fonctionner dans des États qui nous divisent, nous insécurisent, endettent nos familles et par ses banques saisissent leurs maisons……
Les médecins se trompent constamment : avez-vous déjà été l’une de leurs erreurs?

« La médecine moderne est devenue à présent la source primordiale des maladies »

dit Hans Ruesch dans son livre choc «…La Grande Fraude Médicale»

Tant que LA MALADIE sera RENTABLE. L’Industrie pharmaceutique jongle avec des centaines de milliards $.

Nos ÉTATS on privatisés hypocritement la SANTÉ à travers les pharmacies qui contrôlent la recherche et les prix des médicaments : non, il n’y a pas de gratuité dans nos sociétés vendues aux multinationales - - - >

En moyenne, les enfants ont subi plus de 20 agressions vaccinales avant même d’avoir franchi la porte de l’école!

Aucune pilule au monde ne peut donner la santé, tout au plus elle peut soulager temporairement certaines douleurs!

Tant les médecines allopathique (médicaments durs) que douces (herbes médicinales) font l’erreur de tenter de pallier aux symptômes plutôt que la suppression de la ou des causes.


VICTIMES DE NOUS-MÊMES

NOUS TARDONS À ÉVOLUER et à sortir de nos mentalités guerrières des époques de survies

MAUX ET MALADIES DE L’ÉCONOMISÈRE, L’ÉCONOMICIDE, L’ÉCONOMILITAIRE


CE QUI PERTURBENT ET RENDENT MALADES AUTANT DE GENS

ORIGINES DE NOS MENTALITÉS DÉPLORABLES


Nos mentalités élitistes, du Mérite et de la vie de combat font souffrir la Planète!

Déjà on s’emprisonne nous-mêmes dans des mentalités horribles et avec les barreaux de la jalousie; les prisons de la haine, de la vengeance, de la compétition… et à casser les autres et les conformer pour maintenir son job, pour survivre et pour de l’argent : ils sont prêts à se combattre les uns les autres, à s’exploiter, se voler et … s’entretuer parfois! Nous vivons encore dans nos vieilles habitudes nées de l’ignorance, vu notre curiosité naturelle de tout expliquer. Mais cela nous retient encore dans l’esprit archaïque des tribus et de leurs vies guerrière de chasse et de pêche.


On se pensait malade avec nos petits cancers et nos déprimes jusqu’au jour où certains nous disaient de nous rendre compte que la maladie des maladies était des mentalités de haine et d’envies

1 personne sur 4 souffre de DOULEURS CHRONIQUES au Canada : cela prouve hors de tous doutes l’échec de la Médecine à faire de la prévention; l’échec de l’Industrie pharmaceutique à guérir; et l’échec de la Science à résoudre les maux.

Les populations sont prédisposées à certaines maladies endémiques selon les milieux de vie où elles résident : dépendamment qu’ils soient appropriés ou pas à leurs conditions naturelles d’humains. Le «Naturel» n’est pas inné : il est le fruit de conditions de vie. Tous nos caractères ont une origine historique voire céleste.

Les gens malades et révoltés témoignent de Gouvernements violents et esclavagisants. L’agressivité, la déprime, le désespoir, la frustration, la fuite dans l’alcool te les drogues… témoignent des contextes de vie humiliants et antifraternels imposés à tous



L'Amour, le bonheur, une vie magnifique et saine: ce n'est pas une question de mérite, d'utilitarisme..... mais de droits, de nécessités, de besoins, d'économie ....


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Petits rappels .....


EN ÉGYPTE .... Sous Kadhafi, 5 infirmières et un médecin anesthésiste bulgares, détenus et torturés pendant plusieurs années par les autorités libyennes et accusés d'avoir contaminé des enfants libyens par le virus du sida, sont libérés en 2007.

John Keynes, auteur de la doctrine keynésienne sur le rôle de l’Etat, croyait fermement à l’eugénisme Galtonien, qu’il considérait comme la branche la plus importante de la sociologie. Théodore Roosevelt n’avait pas peur de dire : » La société ne doit pas permettre aux débiles mentaux de se reproduire ». Les critères pour définir la débilité mentale étaient évidemment d’un flou extrême. Dommage qu’ils n’ont pas été appliqués à certains de ses successeurs à la Maison Blanche. Je souhaiterais beaucoup que l’on empêcha entièrement les gens de catégorie inférieure de se reproduire, et quand la nature malfaisante de ces gens est suffisamment manifeste, des mesures devraient être prises en ce sens. Les criminels devraient être stérilisés et il devrait être interdit aux personnes faibles d’esprit d'avoir des descendants. Theodore Roosevelt
«Je suis fortement en faveur de l'utilisation de gaz empoisonné contre les tribus non civilisées. L'effet moral devrait être bon ... et elle se répandrait une vive terreur ...." - (Winston Churchill commentant l'usage britannique de gaz toxiques contre les Irakiens après la Première Guerre mondiale)
Les Spartiates avaient une solide réputation d’eugénistes. Les nouveaux-nés passaient un examen extrêmement rigoureux. Tous ceux qui montraient les moindres signes de déformation ou de faiblesse étaient tués. Aussi Hitler était-il plein d’admiration pour eux.


"Le mythe de la surpopulation est l'un des plus puissants du monde ... en réalité il n'est rien de plus qu'une rationalisation d'une guerre mondiale contre les pauvres - une guerre qui inhibe le développement légitime et la justice sociale .... Les Pays-Bas quatre fois la densité de population de son ancienne colonie Indonésie, mais il est l'Indonésie et les Pays-Bas n'est pas ce qui est dit avoir un problème de surpopulation. " - Michael Schwartz, la surpopulation et la guerre contre les pauvres

L’élite globaliste, l’eugénisme et le contrôle des populations

par Anarchix — Avril 2010 – “Les couches les plus basses de la société, celles les moins équipées génétiquement ne doivent pas avoir accès trop facilement à l’aide, au secours et aux hôpitaux, car cela retirerait le dernier rempart de la sélection naturelle, ainsi rendant les enfants trop facile à produire et survivre.”

– Julian Huxley, fondateur UNESCO et WWF et de la British Eugenics Society, “UNESCO, ses buts et philosophie”, 1947 –

“Lorsque nous devons prendre une décision très importante, nous devons nous demander avant d’agir quel sera l’impact de nos actions sur les prochaines sept générations”


Les faits montrent que la récession au Royaume-Uni a déjà frappé durement les personnes handicapées. Les énormes réductions de dépenses publiques du nouveau gouvernement comprennent de nouvelles attaques sur les maigres mais vitales allocations d’invalidité. Leur but est de revenir en arrière sur les « réformes sociales » durement gagnées, ce qui affecte toutes les sections de la classe ouvrière. Comprendre la nature des discriminations liées au handicap peut donc jouer un rôle dans la défense de ces réformes et permettre d’unir la résistance face aux attaques qui nous attendent.Cet article vise à articuler une approche marxiste sur les questions du handicap et des déficiences et à entamer un débat qui a sans doute pris du retard. La discrimination vécue par les personnes handicapées est-elle une forme d’oppression comme celle subie par d’autres minorités sous le capitalisme ? Que s’est-il passé dans le mouvement des handicapés et qu’est devenu le modèle social du handicap qui l’a inspiré ? Est-il possible et souhaitable, de parvenir à une société libérée de tout handicap ?

La population mondiale subit encore le régime eugéniste


Des Athées dirigent nos vies
LES BANDITS ONT ÉRIGÉS DES PAPES POUR BIEN PARAÎTRE

FAMILLES ROYALES CANNIBALES, et encore de nos jours dans leurs confréries
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DRUIDISME ET REINES SORCIÈRES, CANNIBALISME ROYAL et chez les bourgeois de ce monde

La famille royale britannique a consommé de la chair humaine

La famille royale britannique a consommé de la chair humaine (mais ne vous inquiétez pas c’était il y a 300 ans…)


La famille royale britannique a consommé de la chair humaine (mais ne vous inquiétez pas c’était il y a 300 ans – d’après ce que dit cet article du Daily Mail en tout cas…)

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Par FIONA MACRAE

Dernière mise à jour à 00h58 le 21 mai 2011

Ils ont longtemps été connus pour leur amour des banquets somptueux et des riches recettes. Mais ce qui est moins connu, c’est que la famille royale britannique avait également un penchant pour la chair humaine.

Un nouveau livre sur le cannibalisme médicinal a révélé que peut-être aussi récemment que la fin du 18ème siècle la royauté britannique ingérait des morceaux de corps humain.

L’auteur ajoute que ce n’était pas une pratique réservée aux monarques, mais que cette dernière était répandue parmi les gens aisés en Europe.

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Le cannibalisme médicinal: Tant la reine Mary II que son oncle le roi Charles II ont consommé du crâne d’homme distillé sur leur lit de mort en 1698 et 1685 respectivement, selon le Dr Sugg.

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Le cannibalisme médicinal: Tant la reine Mary II que son oncle le roi Charles II ont consommé du crâne d’homme distillé sur leur lit de mort en 1698 et 1685 respectivement, selon le Dr Sugg.

Alors qu’ils dénoncaient les cannibales barbares du Nouveau Monde, ils appliquaient, buvaient, ou portaient de la poudre de momie égyptienne, de la graisse, de la chair, des os, du sang, de la cervelle, et de la peau humaine.

De la mousse prélevée sur le crâne de soldats morts a même été utilisée comme remède dans les saignements de nez, selon le Dr Richard Sugg de l’Université de Durham.

Le Dr Sugg, a déclaré: « Le corps humain a été largement utilisé comme agent thérapeutique, les traitements les plus populaires incluant chair, os, ou sang. »

« Le cannibalisme a été pratiqué non seulement dans le Nouveau Monde, comme on le croit souvent, mais aussi en Europe.

« Une chose qu’on nous enseigne rarement à l’école, alors que les textes littéraires et historiques de l’époque en attestent, est la suivante: James I a refusé la médecine par les corps; Charles II a transformé son propre corps en médecine, et Charles I a été transformé en médecine par les corps.

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« Avec Charles II, les utilisateurs ou prescripteurs éminents incluaient François Ier, le chirurgien d’Elizabeth I John Banister, Elizabeth Grey, la comtesse de Kent, Robert Boyle, Thomas Willis, William III, et la reine Mary.

Nouveau monde: Représentation de cannibalisme dans la tribu Tupinamba du Brésil tel que décrit par Hans Staden en 1557. Que ceci soit vrai ou non, le mythe a ignoré le fait que les Européens consommaient de la chair humaine.

L’histoire du cannibalisme médicinal, fait valoir le Dr Sugg, a soulevé un certain nombre de questions sociales importantes.

Il dit: « le cannibalisme médicinal s’est servi du poids formidable de la science européenne, de l’édition, des réseaux commerciaux, et de la théorie informée.

« Alors que la médecine par les corps a parfois été présentée comme une thérapie médiévale, elle était à son comble lors des révolutions sociales et scientifiques du début de la Grande-Bretagne moderne.

« Elle a survécu jusqu’au 18ème siècle, et parmi les pauvres, elle a persisté obstinément à l’époque de la reine Victoria.

« Indépendamment de la question du cannibalisme, l’approvisionnement en parties du corps nous semble désormais très contraire à l’éthique.

« À l’apogée du cannibalisme médicinal, des corps ou des os ont été systématiquement extraits de tombeaux égyptiens et de cimetières européens. Non seulement cela, mais jusqu’au dix-huitième siècle la plus grande part des importations en provenance d’Irlande en Grande-Bretagne étaient constituée des crânes humains.

« Que tout cela ait été pire ou non que le marché noir contemporain d’organes humains est difficile à dire. »

This painting of Charles I's execution in 1649 shows people surging forward to mop up the former King's blood. It was thought to have healing properties

Cette peinture de l’exécution de Charles Ier en 1649 montre des gens se précipitant pour récolter le sang de l’ancien roi. On pensait que ce dernier avait des propriétés curatives.

Le livre donne de nombreux exemples vivants, et souvent dérangeants, de la pratique, allant des échafaudages d’exécution en Allemagne et en Scandinavie, aux tribunaux et laboratoires d’Italie, de France et Grande-Bretagne, aux champs de bataille de Hollande et d’Irlande, et aux tribus anthropophages des Amériques.

Un tableau représentant l’exécution de Charles I 1649 montrait des gens récoltant le sang du roi avec des mouchoirs.

Le Dr Sugg dit: « Cela a été utilisé pour traiter le « mal du roi » – un problème plus souvent guéri par le contact avec des monarques en vie. »

« En Europe continentale, où la hâche tombait systématiquement sur le cou des criminels, le sang était le traitement de choix pour de nombreux épileptiques.

« Au Danemark, le jeune Hans Christian Andersen a vu des parents faire boire à leur enfant malade du sang à l’échafaud. Ce traitement était si populaire que les bourreaux demandaient régulièrement à leurs assistants de recueillir le sang dans des coupes alors qu’il jaillissait du cou des criminels mourants.

« Parfois, un patient pouvait court-circuiter ce système. Lors d’une exécution au XVIe siècle en Allemagne, « un vagabond saisit le corps décapité » avant qu’il retombe, et en bu le sang.. ». »

La dernière instance enregistrée de cette pratique en Allemagne s’est produite en 1865.

Histoire: L’auteur le Dr Richard Sugg, de l’Université de Durham, plonge dans l’univers sombre du cannibalisme médicinal dans son nouveau livre « Momies, Cannibals and Vampires » (momies, cannibales et Vampires).

Alors que Jacques Ier avait refusé de prendre du crâne humain, son petit-fils Charles II aima tellement l’idée qu’il acheta la recette. Ayant payé peut-être £ 6,000 pour cela, il distillait souvent du crâne humain lui-même dans son laboratoire privé.

Dr Sugg dit: « En conséquence connu depuis longtemps sous le nom de « gouttes de roi », ce remède fluidique a été utilisé contre l’épilepsie, les convulsions, les maladies de la tête, et souvent comme un traitement d’urgence pour les mourants.

« Ce fut la toute première chose que Charles rechercha le 2 Février 1685, au début de sa dernière maladie, et qu’on lui administra, non seulement sur son lit de mort, mais sur celui de la Reine Mary en 1698.

Les recherches du Dr Sugg seront présentées dans un prochain documentaire de Channel 4, avec Tony Robinson, dans lequel ils reconstituent des versions de traitements cannibales plus anciens à l’aide de cervelles, sang, et crâne de porcs.

Le livre, intitulé « Mummies, Cannibals and Vampires » (momies, cannibales et Vampires) sera publié le 29 Juin par Routledge, et retrace l’histoire de la médecine européenne en grande partie oubliée du cadavre, de la Renaissance à l’époque victorienne.

Voir également cet article du Dr Sugg dans le journal médical The Lancet.

Source: dailymail


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par Viny Eden
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Leur retour triomphal aux nobles valeurs du cannibalisme : clergé, noblesse, bourgeoisie et université


L’HEMOPHAGIE

Le cannibalisme du sang (hémophagie) fut de tous les temps et de tous les lieux.

Les prêtres des Mochicas du Pérou (200 av. J.-C. à 700 apr. J.-C. environ) pratiquaient des sacrifices humains : ils égorgeaient les victimes, collectaient leur sang dans des bols et le buvaient.

Dans la Rome impériale, il arrivait que des spectateurs se précipitassent dans l'arène pour boire le sang des gladiateurs morts ; ce sang était censé guérir les épileptiques et porter bonheur si l’on y trempait les cheveux.

Sous la Révolution française le sang des aristocrates guillotinés fut parfois offert aux pauvres comme boisson reconstituante et il est attesté que des enragés dévorèrent le foie de leurs victimes lors des massacres de septembre 1792.
En mars 1883, Alferd Packer, accusé d'avoir consommé la chair de ses cinq camarades dans les montagnes rocheuses du Colorado où leur expédition s'était perdue, fut condamné à la peine de mort pour cannibalisme. Sa sentence fut commuée en 40 ans de prison par la Cour suprême des États-Unis d'Amérique en 1886. Packer devint, paraît-il, végétarien et s'éteignit en prison le 24 avril 1907.

« Tous les mythes d'origine et de légitimation de la royauté dans le Pacifique sont fondés sur le cannibalisme et l'inceste commis par les dieux. D'ailleurs, c'est la même chose pour ceux de la civilisation de la Grèce antique. Et cela ne nous empêche pas de l'admirer et de la considérer comme les racines de la nôtre ! » Dans l'un des premiers épisodes de « La théogonie » d'Hésiode, véritable scénario de la création du monde selon les Grecs, le dieu Cronos, qui, avec la complicité de sa mère Gaia, avait émasculé son détesté père Ouranos, une fois devenu lui-même reproducteur, redoutait de subir le même sort. Il prit donc, au grand désespoir de son épouse Rhéa, les devants en dévorant ses propres enfants dès leur venue au monde.

Le cannibalisme serait l'inévitable conséquence de la misère économique et physiologique dans laquelle sont plongées beaucoup de populations et aussi et surtout les conséquences des rituels religieux des classes bourgeoises, rituels dirigés par des sorciers/prêtres, des druides conseillers des rois et des reines, et .....

CITATIONS

Les habitants de la Terre de Feu ont été soupçonnés avec raison de cannibalisme ; ils sont dans l'usage de tuer leurs plus vieilles femmes, pour les dévorer, lorsqu'ils craignent de manquer de vivres. (François de Lacroix 1582-1644)

Un cannibale est un homme qui aime son prochain avec de la sauce. (Jean Rigaux 1909-1991)

LE CANNIBALISME EST UN VICE DES CLASSES BOURGEOISES..... Une connaissance plus approfondie des populations dites sauvages a prouvé qu'elles ont d'autres ressources que la chasse, la pêche et la cueillette. Presque toutes pratiquent l'horticulture. Les plus cannibales d'entre elles élèvent des animaux domestiques comme le porc et la chèvre. Si le cannibalisme provenait de la rareté des subsistances, il devrait être au minimum là où abondent les fruits spontanés du sol et au maximum dans les régions polaires, où l'homme ne vit que des produits de sa chasse et de sa pêche. Or le contraire est vrai. Les Eskimo sont à peu près étrangers au cannibalisme, qui est extrêmement développé dans les régions forestières de l'Afrique et de l'Amérique, où foisonnent le gibier et les fruits.



Les Dirigeants Internationaux ont toutes les caractéristiques des SOCIOPATHES

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''LE CORPS ET LE SANG DU CHRIST: BUVEZ-EN TOUS, CECI SERA LE SCEAU DE L'ALLIANCE (DIABOLIQUE) ÉTERNELLE..... EN RÉMISSIONS DE VOUS PÉCHEURS

: Mt: 26/26-29

26 26 Or, tandis qu'ils mangeaient, Jésus prit du pain, le bénit, le rompit et le donna aux disciples en disant: "Prenez, mangez, ceci est mon corps."
26 27 Puis, prenant une coupe, il rendit grâces et la leur donna en disant: "Buvez-en tous;
26 28 car ceci est mon sang, le sang de l'alliance, qui va être répandu pour une multitude en rémission des péchés.
26 29 Je vous le dis, je ne boirai plus désormais de ce produit de la vigne jusqu'au jour où je le boirai avec vous, nouveau, dans le Royaume de mon Père."
22 17 Puis, ayant reçu une coupe, il rendit grâces et dit: "Prenez ceci et partagez entre vous;
22 18 car, je vous le dis, je ne boirai plus désormais du produit de la vigne jusqu'à ce que le Royaume de Dieu soit venu."
22 19 Puis, prenant du pain, il rendit grâces, le rompit et le leur donna, en disant: "Ceci est mon corps, donné pour vous; faites cela en mémoire de moi."
22 20 Il fit de même pour la coupe (jus de raisin et non du vin car il ne voulait plus boire le produit fermenté de la vigne) après le repas, disant: "Cette coupe est la nouvelle Alliance en mon sang, versé pour vous.

Saint Jean : le pain de vie

Discours de Jésus sur le pain de vie (CANNIBALISME: du symbolisme à la réalité actuelle)

6 51 Je suis le pain vivant, descendu du ciel. Qui mangera ce pain vivra à jamais. Et même, le pain que je donnerai, c'est ma chair pour la vie du monde."
6 52 Les Juifs alors se mirent à discuter fort entre eux; ils disaient: "Comment celui-là peut-il nous donner sa chair à manger?"
6 53 Alors Jésus leur dit: "En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme et ne buvez son sang, vous n'aurez pas la vie en vous.
6 54 Qui mange ma chair et boit mon sang a la vie éternelle et je le ressusciterai au dernier jour.
6 55 Car ma chair est vraiment une nourriture et mon sang vraiment une boisson.
6 56 Qui mange ma chair et boit mon sang demeure en moi et moi en lui.
6 57 De même que le Père, qui est vivant, m'a envoyé et que je vis par le Père, de même celui qui me mange, lui aussi vivra par moi.




SOCIOPATHES royaux :
--- Ils n'ont aucune conscience
--- Ils n'ont aucun remord
--- Ils sont aspergers car INSENSIBLES aux humains
--- Ils sont pires que les autistes
--- Ils sont dysphasiques (déconnecté de la réalité qui est NOUS
--- ..............

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Il faut vraiment être malades pour vouloir s'élever au-dessus des autres et non AVEC les autres


Pourtant, depuis Freud, il est admis que l'anthropophagie est, avec l'inceste et le parricide, l'un des trois interdits fondamentaux de l'espèce humaine. Erreur, s'insurge l'écrivain Martin Monestier. Dans son stupéfiant livre « Cannibales : histoire et bizarreries de l'anthropophagie, hier et aujourd'hui « (2), il montre à l'envi, par le texte et l'iconographie, que ce tabou-là n'a cessé, et ne cesse, d'être allègrement transgressé par les hommes depuis la nuit des temps. « Tout au long des siècles, écrit-il, se profile le cannibalisme alimentaire, tantôt de pénurie, tantôt gastronomique. Le cannibalisme guerrier tend à s'accaparer les vertus de l'adversaire ; le cannibalisme sacré veut imiter les dieux ou évoquer les ancêtres ; le cannibalisme médical espère protéger les vivants ; le cannibalisme de vengeance désire humilier en rendant son ennemi à l'état de viande de boucherie ; le cannibalisme judiciaire sert à rétablir l'ordre social ; le cannibalisme érotique s'introduit dans les plaisirs de l'amour pour stimuler la volupté. Et le cannibalisme pathologique serait la matérialisation du fantasme anthropophagique agitant chaque individu dans toutes les sociétés.http://nsa27.casimages.com/img/2011/08/27/110827075227915918.gif

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Le cannibalisme tire son son origine d'une passion, de l'embourgeoisement de certains dans des gamiques qui faisaient et qui font encore des PACTES DE SANGS ET..... L'usage est d'exclure du banquet anthropophagique les femmes et les enfants pour en faire un privilège sacerdotal et aristocratique.











Attention aux âmes sensibles, ne regardez pas cette photo où la reine montre un regard diabolique




Le progrès des techniques de laboratoire, notamment le microscope électronique à balayage, ont permis de montrer que de nombreux os humains fossiles portaient les traces d'un dépeçage réalisé avec des outils de pierre. Ainsi, sur le site de Krapina, en Croatie, où vivaient des néandertaliens, une bonne partie des quelque 800 os humains découverts avaient, sans conteste, été incisés (pour en détacher les chairs ?), brisés (pour en extraire la délicieuse moelle ?) ou brûlés (à l'issue d'un barbecue ?






























Voici des photos très révélatrices .... jugez-en par vous-mêmes .....




































Est-ce la reine grand-mère, Mary? .... car ce matriarcat mafieux britanno/germano/Italo/Espano/Franco.... semble dirigé par les plus Anciens qui supervisent les jeunes rois et reines et ce jusqu'à la mort des Anciens tout comme les Druides le faisaient


Le guerrier mange le vaincu

Le guerrier mange le vaincu, surtout son foie ou son coeur, organes où siège le courage, pour s'en attribuer les vertus et, au passage, humilier sa tribu. Une pratique qui plonge ses racines dans l'universel - et toujours d'actualité - principe d'incorporation. L'(h)omnivore est persuadé qu'il devient ce qu'il mange : il a un sang de navet s'il abuse de ce légume, il se refait du sang en mangeant de la viande rouge, il se sent génétiquement manipulé s'il ingurgite des OGM, il ne fait qu'un avec ses ancêtres s'il les boulotte en famille après leur mort. C'est également ce principe d'incorporation que l'on retrouve, dans la religion catholique, dans le sacrement central de la communion (voir encadré).

L'exocannibalisme est le fait de manger réellement ou symboliquement la chair d'un ennemi ; il exprime la férocité, la revanche et l’appropriation des qualités guerrières de l’adversaire : la bravoure et la force notamment.

Du détroit de Béring à la Terre de Feu, la pratique rituelle du cannibalisme, essentiellement de vengeance, était monnaie courante. Pour s'en convaincre, lire l'extraordinaire « Relation véridique et précise des moeurs et coutumes des Tupinamba » (4), de l'arquebusier Hans Staden.

Ce mercenaire allemand du XVIe siècle, qui fut capturé sur le littoral atlantique du Brésil par cette tribu, dut, en arrivant au village d'Ubatuba - la coutume, c'est la coutume - annoncer lui-même : « C'est moi qui arrive, moi votre nourriture... »

Durant neuf longs mois, il a vécu la chronique d'une dévoration annoncée. La sienne. Avant d'être racheté, in extremis, par des marins français, il eut tout loisir d'observer en direct les étapes de ce rituel destiné à venger les morts de la tribu. Plusieurs autres prisonniers subirent, en effet, ce sort durant sa propre captivité. « J'ai vu toutes ces cérémonies et j'y ai assisté », dit-il. Ces scènes, il les a même dessinées dans son livre. A l'issue des cérémonies, auxquelles le futur plat de résistance participe de bout en bout, l'exécuteur s'approche du prisonnier et lui dit, rapporte Staden : «"Me voici ! je viens pour te tuer ; car les tiens ont tué et dévoré un grand nombre des miens." Le prisonnier lui répond : "Quand je serai mort, mes amis me vengeront." Au même instant, l'exécuteur lui assène sur la tête un coup qui fait jaillir la cervelle. Les femmes s'emparent alors du corps, le traînent auprès du feu... »


Les rites de la chair

Le Point - Publié le 12/05/2000 à 18:25 - Modifié le 16/01/2007 à 18:25

Pourtant, depuis Freud, il est admis que l'anthropophagie est, avec l'inceste et le parricide, l'un des trois interdits fondamentaux de l'espèce humaine. Erreur, s'insurge l'écrivain Martin Monestier. Dans son stupéfiant livre « Cannibales : histoire et bizarreries de l'anthropophagie, hier et aujourd'hui « (2), il montre à l'envi, par le texte et l'iconographie, que ce tabou-là n'a cessé, et ne cesse, d'être allègrement transgressé par les hommes depuis la nuit des temps. « Tout au long des siècles, écrit-il, se profile le cannibalisme alimentaire, tantôt de pénurie, tantôt gastronomique. Le cannibalisme guerrier tend à s'accaparer les vertus de l'adversaire ; le cannibalisme sacré veut imiter les dieux ou évoquer les ancêtres ; le cannibalisme médical espère protéger les vivants ; le cannibalisme de vengeance désire humilier en rendant son ennemi à l'état de viande de boucherie ; le cannibalisme judiciaire sert à rétablir l'ordre social ; le cannibalisme érotique s'introduit dans les plaisirs de l'amour pour stimuler la volupté. Et le cannibalisme pathologique serait la matérialisation du fantasme anthropophagique agitant chaque individu dans toutes les sociétés. »

« Ainsi fut sauvé Zeus... »

Loin d'être l'apanage de quelques rares assassins hors normes - comme le Japonais Issei Sagawa qui, à Paris, en 1981, eut, pour sa petite amie néerlandaise, une passion littéralement dévorante, ou, pis, comme les Américains Ottis Tool et Henry Lee Lucas, qui, chacun de leur côté puis en couple, tuèrent de 160 à 180 personnes, dont ils goûtèrent la chair dans les années 70, ou encore comme Andreï Tchikatilo, le « boucher de Rostov » qui, avant d'être arrêté en 1990, avait tué et ingéré au moins 52 victimes -, l'anthropophagie fait partie intégrante de l'histoire de l'humanité.

C'est si vrai que, dans de multiples sociétés, les mythes de la création font peu ou prou référence à la transgression de nombreux tabous dont, en premier lieu, celui qui frappe l'anthropophagie. Exemple donné par le préhistorien Daniel Frimigacci (voir « L'odyssée de l'espèce », Le Point n° 1377) : « Tous les mythes d'origine et de légitimation de la royauté dans le Pacifique sont fondés sur le cannibalisme et l'inceste commis par les dieux. D'ailleurs, c'est la même chose pour ceux de la civilisation de la Grèce antique. Et cela ne nous empêche pas de l'admirer et de la considérer comme les racines de la nôtre ! »

Dans l'un des premiers épisodes de « La théogonie » d'Hésiode, véritable scénario de la création du monde selon les Grecs, le dieu Cronos, qui, avec la complicité de sa mère Gaia, avait émasculé son détesté père Ouranos, une fois devenu lui-même reproducteur, redoutait de subir le même sort. Il prit donc, au grand désespoir de son épouse Rhéa, les devants en dévorant ses propres enfants dès leur venue au monde. A la naissance de son sixième bébé, Rhéa prit une pierre, l'enveloppa de langes et la donna à Cronos qui l'avala sans se douter du subterfuge. « Ainsi fut sauvé Zeus, le futur roi des dieux », constate Jacques Lacarrière dans « Au coeur des mythologies » (3).

Quelque 800 os humains

Du mythe à la pratique, il n'y a qu'un pas que nos ancêtres les hommes de Neandertal et de Cro-Magnon ont, apparemment, franchi. Depuis la fin des années 70, la précision des fouilles comme le progrès des techniques de laboratoire, notamment le microscope électronique à balayage, ont permis de montrer que de nombreux os humains fossiles portaient les traces d'un dépeçage réalisé avec des outils de pierre. Ainsi, sur le site de Krapina, en Croatie, où vivaient des néandertaliens, une bonne partie des quelque 800 os humains découverts avaient, sans conteste, été incisés (pour en détacher les chairs ?), brisés (pour en extraire la délicieuse moelle ?) ou brûlés (à l'issue d'un barbecue ?).

Les artistes de Lascaux et de la grotte Chauvet ne furent pas en reste. Ils ont laissé derrière eux quantité d'ossements de Cro-Magnon ayant subi les mêmes outrages que ceux qu'infligeait Neandertal à Neandertal. Ces hommes du paléolithique perpétuaient ainsi la tradition déjà ancienne du repas cannibale inaugurée par Homo erectus, beaucoup plus primitif, qui vivait à Tautavel, dans le sud de la France, trois cent mille ans avant eux.

Et pourtant, à l'époque, les néandertaliens furent les premiers humains à enterrer leurs morts. Mais peut-être ne considéraient-ils comme véritablement humains que les seuls membres de leur tribu... Après tout, cela se passait ainsi il n'y a pas si longtemps dans de nombreuses sociétés traditionnelles et en Europe au temps de Christophe Colomb, comme en témoigne la controverse de Valladolid sur l'humanité des Indiens Caraïbes. Quoi qu'il en soit, le plus naturellement du monde, sans que la plupart du temps entre dans cette pratique une quelconque perversion, l'Homme avec un grand H a mangé de l'homme avec un h minuscule, démontre Martin Monestier en insatiable comptable des bizarreries de notre étrange espèce.

Le guerrier mange le vaincu

L'Homme mange de l'homme par nécessité, comme sur le radeau de la « Méduse » en 1816, lors de la grande sécheresse de 1922 en Russie, durant le siège de Leningrad en 1941 ou, en 1972, après un accident d'avion dans la cordillère des Andes. Les trente survivants du crash, dont une équipe de rugby uruguayenne, survécurent ainsi soixante-dix jours durant par - 40 °C avant d'être secourus...

Cette anthropophagie de survie, même si elle soulève des haut-le-coeur, est comprise et absoute par l'opinion publique, les tribunaux et les Eglises. Les marins naufragés de la « Felicia » en 1875, de la « Victoria » en 1884, du « Britannia » en 1885, qui ont, comme dans la chanson, mangé leur mousse, ont par la suite été relaxés par les tribunaux, constate Martin Monestier.

Le guerrier mange le vaincu, surtout son foie ou son coeur, organes où siège le courage, pour s'en attribuer les vertus et, au passage, humilier sa tribu. Une pratique qui plonge ses racines dans l'universel - et toujours d'actualité - principe d'incorporation. L'(h)omnivore est persuadé qu'il devient ce qu'il mange : il a un sang de navet s'il abuse de ce légume, il se refait du sang en mangeant de la viande rouge, il se sent génétiquement manipulé s'il ingurgite des OGM, il ne fait qu'un avec ses ancêtres s'il les boulotte en famille après leur mort. C'est également ce principe d'incorporation que l'on retrouve, dans la religion catholique, dans le sacrement central de la communion (voir encadré).

Lorsque les Européens, dans le sillage des Vasco de Gama et autres Colomb, se lancèrent à la découverte mercantile du monde dans le bruit des armures, le feu des mousquets et la fureur des massacres, ils découvrirent avec stupeur que, aux Amériques, en Afrique et en Océanie, le cannibalisme, dont on ne connaissait en Occident que les versions mythiques et de survie, était couramment pratiqué au grand jour, sans honte ni perversité excessive. Le terme « canibal », francisé en « cannibale », a d'ailleurs été créé au XVIe siècle par les explorateurs espagnols à partir du mot « caribal » qui, dans la langue des habitants des Caraïbes, signifie « hardi », et non pas mangeur de chair humaine.

Du détroit de Béring à la Terre de Feu, la pratique rituelle du cannibalisme, essentiellement de vengeance, était monnaie courante. Pour s'en convaincre, lire l'extraordinaire « Relation véridique et précise des moeurs et coutumes des Tupinamba » (4), de l'arquebusier Hans Staden.

Ce mercenaire allemand du XVIe siècle, qui fut capturé sur le littoral atlantique du Brésil par cette tribu, dut, en arrivant au village d'Ubatuba - la coutume, c'est la coutume - annoncer lui-même : « C'est moi qui arrive, moi votre nourriture... »

Durant neuf longs mois, il a vécu la chronique d'une dévoration annoncée. La sienne. Avant d'être racheté, in extremis, par des marins français, il eut tout loisir d'observer en direct les étapes de ce rituel destiné à venger les morts de la tribu. Plusieurs autres prisonniers subirent, en effet, ce sort durant sa propre captivité. « J'ai vu toutes ces cérémonies et j'y ai assisté », dit-il. Ces scènes, il les a même dessinées dans son livre. A l'issue des cérémonies, auxquelles le futur plat de résistance participe de bout en bout, l'exécuteur s'approche du prisonnier et lui dit, rapporte Staden : «"Me voici ! je viens pour te tuer ; car les tiens ont tué et dévoré un grand nombre des miens." Le prisonnier lui répond : "Quand je serai mort, mes amis me vengeront." Au même instant, l'exécuteur lui assène sur la tête un coup qui fait jaillir la cervelle. Les femmes s'emparent alors du corps, le traînent auprès du feu... »

Le festin des nobles

A Wallis-et-Futuna, jusqu'il y a peu, l'Homme mangeait l'homme pour consolider l'institution sociale. Les humains y étaient classés en deux catégories : les nobles, qui, comme chacun sait, sont habités par les dieux, et les autres... Pour nourrir ces dieux intérieurs, lors des fêtes de la récolte ou pour l'intronisation des chefs, il fallait manger de la chair humaine, en l'occurrence soit des prisonniers de guerre, soit les « autres ». Par exemple des voisins imprudemment égarés sur le territoire de la tribu, et même des morts, ou les « non-nobles » de son propre groupe. Pour éviter les abus, germes des pénuries futures, les chefs devaient parfois aller jusqu'à fermer la chasse à l'homme, comme ils le faisaient pour la cueillette des fruits.


La question du philosophe des Lumières reste d'actualité, affirme Martin Monestier, qui précise : « A l'heure actuelle, on assiste partout à une résurgence du cannibalisme sous toutes ses formes. Principalement rituel en Afrique et en Amérique du Sud, pathologique et criminel en Amérique du Nord, criminel et de subsistance en Europe de l'Est et en Asie. » Le pervers et sadique Hannibal Lecter est en bonne compagnie..... Et surtout toutes ces Sectes, ces Clubs, ces Clans, ces CONFRÉRIES et autres SOCIÉTÉS SECRÈTES et qui opèrent encore des rituels ancestraux pour s'obliger au silence et.....

VAMPIRISME DES CLASSES BOURGEOISES DÉVIANTES ET SANS MORALE

En 1901, dans une thèse soutenue à la faculté de médecine de Lyon, le futur Dr Alexis Epaulard utilisa pour la première fois le terme de "vampire", non pas pour désigner un buveur de sang mais un nécrophile : Victor Ardisson, le "vampire" de Muy.
On a longtemps employé le terme de « vampire » pour des malades se livrant à des actes de nécrophilie, de nécrosadisme voir de nécrophagie, bien que, pour des raisons évidentes, il n’y eut pas, dans ces cas, de succion de sang. À l’inverse, certains individus, tels que les vampires de Hanovre, de Düsseldorf, de Londres et de Nuremberg, ont une fascination réelle pour le sang et non la mort

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Cannibalisme

De nombreux rapports écrits et témoignages rassemblés par la section australienne pour les crimes de guerre du tribunal de Tokyo, examinés par le procureur William Webb (futur juge en chef), montrent que des Japonais ont commis dans plusieurs parties de l’Asie ou du Pacifique des actes de cannibalisme contre des prisonniers de guerre alliés ou des populations civiles. Dans certains cas, ces actes furent le résultat de l’accroissement des attaques alliées sur les lignes de ravitaillement japonaises et des décès et des maladies frappant les soldats japonais en raison de la famine qui s’ensuivit. Toutefois, selon l’historien Yuki Tanaka, « le cannibalisme était souvent une activité systématique menée par des compagnies entières agissant sous le commandement d’officiers10. »

Dans certains cas, la chair était prélevée sur des personnes en vie : un prisonnier indien, le Lance Naik Hatam Ali (qui devait plus tard devenir citoyen pakistanais) témoigna qu’en Nouvelle-Guinée :

« Les Japonais commencèrent à sélectionner les prisonniers et chaque jour un prisonnier était tué et mangé par les soldats. J’ai vu cela personnellement et près de 100 prisonniers furent tués et mangés par les soldats à cet endroit. Ceux d’entre nous qui restaient furent emmenés à un autre endroit situé à 80 km où dix prisonniers moururent de maladie. À cet endroit, les Japonais recommencèrent à sélectionner des prisonniers en vue de les manger. Ceux qui étaient sélectionnés étaient amenés dans une hutte où leur chair était prélevée sur leurs corps alors qu’ils étaient encore en vie. Ils étaient ensuite jetés dans un fossé où ils finissaient par mourir »11

L'un des officiers connus le plus élevé en grade à avoir été convaincu de cannibalisme fut le Lt. Général Yoshio Tachibana qui, avec onze autres soldats japonais fut jugé pour l’exécution d’aviateurs de l’U.S. Navy et le cannibalisme perpétré sur au moins un d’entre eux en août 1944 sur l’île de Chichi Jima dans l'archipel d'Ogasawara. Ils furent décapités sur les ordres de Tachibana. Comme les lois militaires et internationales ne contenaient pas de dispositions spécifiques au cannibalisme, ils furent jugés pour meurtre et « refus d'une sépulture honorable ». Tachibana fut condamné à mort12.

L'endocannibalisme, pratique funéraire, est le fait d’ingérer les restes d’un parent décédé.

Certains réduisent en poudre les ossements d'un défunt auxquels ils ajoutent de la bière de manioc, et font boire cette mixture aux proches parents. Les ossements sont censés contenir les éléments vitaux de l'esprit de la personne morte qui sont ainsi transmis aux consommateurs.
D’autres ingèrent seulement le cerveau et/ou le cœur, sièges supposés de l’âme du disparu.
Il est avéré que certaines Chinoises mangent leur embryon ou leur foetus après une fausse couche. Il n’est pas exclu que cette pratique soit plus répandue dans le monde qu’on n’ose le croire.

Après la Première Guerre mondiale, William Buehler Seabrook, journaliste au New York Times, voyagea en Afrique où il s’interrogea sur le cannibalisme. Il finit par rencontrer une tribu d’anthropophages qui mangeaient leurs ennemis tués au combat. Un des guerriers lui expliqua quelles parties étaient le plus appréciées : pour la viande, tout le dos (ce qui correspond, chez le bœuf, à l’entrecôte, au filet et au rumsteck), pour les abats, le foie, le cœur et le cerveau étaient considérés comme les morceaux de choix. Un guerrier lui avoua que, pour lui, "la paume des mains était le plus tendre et délicieux morceau de tous". Revenu en France, il réussit à se procurer un morceau de chair auprès d’un interne de la Sorbonne et, dans la villa du baron Gabriel des Hons, à Neuilly, se livra enfin à son expérience, devant témoins. Il cuisina la viande et la goûta : "Cela ressemblait à de la bonne viande de veau bien développé, pas trop jeune mais pas encore un bœuf. C’était indubitablement comme cela, et cela ne ressemblait à aucune autre viande que j’aie déjà goûtée. C’était si proche d’une bonne viande de veau bien développé que je pense que personne qui soit doté d’une sensibilité normale n’aurait pu le distinguer du veau."


Après la Première Guerre mondiale, William Buehler Seabrook, journaliste au New York Times, voyagea en Afrique où il s’interrogea sur le cannibalisme. Il finit par rencontrer une tribu d’anthropophages qui mangeaient leurs ennemis tués au combat. Un des guerriers lui expliqua quelles parties étaient le plus appréciées : pour la viande, tout le dos (ce qui correspond, chez le bœuf, à l’entrecôte, au filet et au rumsteck), pour les abats, le foie, le cœur et le cerveau étaient considérés comme les morceaux de choix. Un guerrier lui avoua que, pour lui, "la paume des mains était le plus tendre et délicieux morceau de tous". Revenu en France, il réussit à se procurer un morceau de chair auprès d’un interne de la Sorbonne et, dans la villa du baron Gabriel des Hons, à Neuilly, se livra enfin à son expérience, devant témoins. Il cuisina la viande et la goûta : "Cela ressemblait à de la bonne viande de veau bien développé, pas trop jeune mais pas encore un bœuf. C’était indubitablement comme cela, et cela ne ressemblait à aucune autre viande que j’aie déjà goûtée. C’était si proche d’une bonne viande de veau bien développé que je pense que personne qui soit doté d’une sensibilité normale n’aurait pu le distinguer du veau."


CROISADES

Des expéditions très sanglantes

Une fois les villes conquises, les troupes chrétiennes et leurs chefs, se livraient à des atrocités qui faisaient frémir les chroniqueurs chrétiens qui en avaient été les témoins, certains se plaisaient à pratiquer le cannibalisme. Ainsi, après la mise à sac de la Palestine, Raoul de Caen, chroniqueur de la Première Croisade écrivait : « A Maarat, les nôtres firent cuire les païens adultes dans des marmites et embrochèrent les enfants pour les manger rôtis. » Le chroniquer arabe Usana ibn Munqidh, qui avait connu dans sa chair les atrocités de la deuxième te troisième croisade, notait dans ses mémoires : « Quand on nous eu informés sur les frany (nom donné par les Arabes aux Croisés), nous vîmes en eux des bêtes nuisibles qui ont une supériorité dans la valeur et l'ardeur au combat mais rien d'autre, tout comme les animaux ont une supériorité dans la force et l'agressivité. » Et cet autre : « Les frany passèrent au fil du couteau la population de la Cité sainte et tuèrent des Musulmans pendant une semaine. Dans la mosquée Al-Aqsa, ils massacrèrent 60 000 personnes. Ils réunirent et enfermèrent les Juifs dans leur synagogue et les y brûlèrent vifs. » Même leurs coreligionnaires n'échappèrent pas à la fureur sacrée des troupes européennes : tous les prêtres et pratiquants des rites orientaux résidant à Jérusalem furent expulsés de la ville et beaucoup assassinés. Plusieurs prêtres coptes qui savaient où se trouvait cachée « la Sainte croix du Christ » furent férocement torturés afin qu'ils livrent leur secret.

Durant la Seconde Guerre mondiale les soldats japonais commirent des actes de cannibalisme à l'encontre des prisonniers et des populations civiles dans les territoires occupés.
Ces actes ont pu être motivés par la famine dans certains cas ; mais selon l'historien Yuki Tanaka, « le cannibalisme était souvent une activité systématique menées par des escouades entières et sous le commandement d'officiers ».
Les plus hauts gradés connus ayant pratiqué le cannibalisme sont le lieutenant-général Yoshio Tachibana (qui, avec 11 membres de son personnel, a été jugé pour avoir fait manger un aviateur américain en août 1944 à Chichi Jima) et le vice-amiral Mori (pour avoir mangé un prisonnier lors d'une réception en février 1945).
Selon le témoignage de plusieurs prisonniers, tel que celui du soldat indien Hatam Ali, les victimes étaient parfois dépecées vivantes.


On a rapporté que, durant la guerre du Vietnam (1959-1975), des soldats vietcongs ingéraient le foie de leurs ennemis pour s’approprier leur force.
La presse a publié des photos d’enfants-soldats laotiens exhibant les foies humains qu’ils allaient consommer.

Dans Stèles rouges, l'écrivain Zheng Yi raconte comment, au cours d'une enquête dans la province de Guangxi, il découvrit de nombreux cas de cannibalisme qui eurent lieu durant la révolution culturelle : "Aussi parle-t-on rarement de ce qui 6 arriva en Chine en 1968, en pleine révolution culturelle. Des étudiants du Guangxi ont mangé leur professeur, et le cannibalisme politique est devenu une expression admissible de la cruauté révolutionnaire. Des hommes étaient découpés vivants, on organisait des festins de chair humaine rituels auxquels chaque camarade se devait de prendre part.”


confréries

Le 27 juillet 2009, devant le Tribunal spécial pour la Sierra Leone (TSSL), l'ancien président libérien Charles Taylor, poursuivi pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité et interrogé à propos de la déposition d'un témoin de l'accusation racontant qu'il avait mangé de la chair humaine avec Charles Taylor lors d'une cérémonie de la société secrète Poro dont l'accusé est aujourd'hui encore le chef, déclara qu'il ne s'était jamais livré au cannibalisme au Liberia, et qu'il n'avait "jamais ordonné à aucun combattant de manger qui que ce soit", en précisant qu'il "ne contestait pas qu'il y ait des cannibales dans certaines parties du Liberia".

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L’origine des maladies à prions pourrait bien être le cannibalisme

Caducee.net, le 11/4/2003

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D’après une étude épidémio-génétique réalisée à la fois sur les populations cannibales de Papouasie-Nouvelle Guinée et sur différentes populations du globe, il apparaît exister de nombreuses évidences anthropologiques allant dans le sens d’une origine préhistorique des maladies à Prions transmissibles à l’homme et véhiculées par les pratiques cannibales courantes avant notre ère.

Le polymorphisme du gène PRNP, codant pour la protéine prion humaine, et notamment une forme mutée de ce gène (PRNP129), confère à l’état hétérozygote une relative résistance aux maladies à prions (sélection compensatoire).

L’équipe de John Collinge (University College Queen Square, Londres) a étudié parmi une population de femmes de Papouasie-Nouvelle-Guinée (Les Fores) pratiquant le cannibalisme, le polymorphisme du gène PRNP. Elle s’est aperçue que 23 des 30 femmes étudiées étaient porteuses à l’état hétérozygote de la mutation M129V. Il a été montré que cette mutation confère par ailleurs une résistance à la maladie de Creutzfeld-Jakob (MCJ), une encéphalopathie spongiforme semblable au Kuru, la maladie observée parmi cette population.

La mutation M129V (ou bien E219K) a été retrouvée par les chercheurs sur l’ensemble du globe, et l’analyse des régions d’ADN entourant ces mutations a révélé que le polymorphisme du gène prion remontait probablement à plus de 500000 ans.

D’après les chercheurs, le polymorphisme du gène PRNP remonterait à des périodes préhistoriques et la fréquence de son apparition à travers le monde plaiderait en faveur d’une pratique courante du cannibalisme avant notre ère.

Source: Science 11 avril 2003;www.sciencexpress.org/10 april 2003/page 1/ 10.1126/science.1083320


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Le responsable d'un kiosque universitaire sur LA SANTÉ MENTALE me dit qu'il prenait du TOPAMAX et que ça le rendait si dépressif qu'il pensait au suicide, puis, il a pris l'initiative d'arrêter ce médicament et il est sorti de sa dépression; il l'a dit à son neurologue qui lui avait prescrit ce médicament, et son neurologue était très fâché envers lui et n'admettait pas que ce médicament soit autant dangereux.

Alors, je lui dis: ''Vous savez, les médecins n'ont de pouvoir que par les médicaments et lorsque leurs patients s'en passent et s'en sortent sans ces médicaments..... alors les médecins ne comprennent plus rien tellement leur foi est aveugle envers les médicaments

15 avril 2010 UQAC, Colloque sur les Infirmiers et infirmières

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Upload imagesUn jour des gens diront: ''Autrefois, le monde utilisait des pommes et des raisins pour faire de l'alcool et du vin pendant que 1 milliards d'humains ne mangeaient pas à sa faim

La maladie comme l’agressivité ou la violence sont des symptômes, pas des causes!

” Ce qui est dangereux, ce n’est pas d’être malade, c’est d’être soigné ” Molière

''Médecin: guéris-toi toi-même, d'abord''

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"La pauvreté semble être la plus grande cause de la maladie. Malgré cela, nos gouvernements réduisent de façon drastique les subsides accordés aux services sociaux et passent des ententes économiques qui plongent nos entreprises dans le précipice de la compétition internationale, insoutenable pour la majorité."

Donnez les fruits aux gens qui sont pauvres au lieu d'en faire du vin

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L’Humain est venu sur cette Terre pour montrer l’exemple aux prédateurs d'avoir une vie pacifique et de leurs apprendre à s’organiser

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par Viny Eden mon e-mail soleilpourtous@hotmail.com